• La peau Léon

    J'aime ton odeur, ta saveur Léon
    T'es pas beau Léon
    T'as les cheveux longs
    Mais je t'ai dans la peau
    Mais je t'ai dans la peau
    Mais je t'ai dans la peau, Léon
    Je ne suis pas jolie, jolie
    Nous ne sommes pas beaux, beaux, beaux
    Mais contre toi, moi je grille
    Tu me fous le feu à la peau
    T'as p't-êt' pas des bras d'athlète
    T'as p't-êt' pas l'torse velu
    Mais j'adore tes mirettes, qui se brouillent
    Quand tu m'dis
    Qu'tu m'as dans la peau Léon
    Qu'tu m'as dans la peau Léon
    Qu'tu m'as dans la peau Léon
    Léon, Léon, Léon, Léon

    Mais voilà, mais voilà
    Qu'un soir au cinérama
    Au ciné en longueur
    Sur l'écran exhibiteur
    Une femme un serpent
    Une chatte mollement
    Etendue plus que nue
    T'a ému
    Cette femme plus que nature
    En couleurs plus que pures
    Cette roulure sans pelure
    Qui roulait en voiture
    Cette glue, ce serpent
    Cette chatte mollement
    S'est glissée, s'est lovée
    Au creux de ta peau Léon
    Tu l'as dans la peau Léon
    Tu l'as dans la peau Léon
    Tu l'as dans la peau Léon
    Léon, Léon, Léon, Léon

    Depuis tu prends des airs rêveurs, Léon
    Pourquoi mon Léon ?
    T'es plus mon Léon
    Pour une étoile dont la peau
    N'est qu'un rayon, un halo
    Nébuleuse vapeur sans chaleur
    J'aurai ta peau Léon
    J'aurai ta peau Léon
    J'aurai ta peau Léon
    Léon, Léon, Léon, Léon

    Ce fut voluptueusement,
    Sans cri, ni geste, ni adieu
    Tu basculas dans le néant
    Tu n'auras pas vécu bien vieux
    C'n'était qu'une p'tite écorchure
    Sur la peau de ta figure
    Que tu te fis au rasoir,
    J'l'avais mouillée de curare
    J'ai eu ta peau Léon
    J'ai eu ta peau Léon
    J'ai eu ta peau Léon
    Léon, Léon, Léon, Léon.

    Tel qu'il est

    Fréhel

    J'avais rêvé d'avoir un homme,
    un vrai de vrai, bien balancé,
    mais je suis chipée pour la pomme,
    d'un avorton, complet'ment j'té.
    Ce n'est pas un Apollon mon Jules,
    il n'est pas taillé comme un Hercule.
    Malgré qu'il ait bien des défauts,
    C'est lui que j'ai dans la peau.

    Tel qu'il est, il me plaît,
    Il me fait de l'effet,
    Et je l'aime.
    C'est un vrai gringalet,
    aussi laid qu'un basset,
    mais je l'aime.
    Il est bancal,
    du coté cérébral
    mais ça m'est bien égal,
    qu'il ait l'air anormal.

    C'est complet, il est muet
    ses quinquets sont en biais
    C'est un fait que tel qu'il est,
    il me plaît.

    {instrumental}

    Il est carré mais ses épaules
    par du carton, sont rembourrées.
    Quand il est tout nu ça fait drôle,
    On n'en voit plus que la moitié.
    Il n'a pas un seul poil sur la tête,
    mais il en a plein sur les gambettes.
    Et celui qu'il a dans la main,
    c'est pas du poil c'est du crin.

    Tel qu'il est, il me plaît,
    Il me fait de l'effet,
    Et je l'aime.
    C'est un vrai gringalet,
    aussi laid qu'un basset,
    mais je l'aime.
    Il est bancal,
    du coté cérébral
    mais ça m'est bien t égal,
    qu'il ait l'air anormal.

    C'est complet, il est muet
    ses quinquets sont en biais
    C'est un fait que tel qu'il est,
    il me plaît.

    Le travail pour lui c'est la chose
    la plus sacrée, il y touche pas.
    Pour tenir le coup il se dose,
    de quintonine, à tous les r'pas.
    Ce qui n'est pas marrant c'est qu'il ronfle,
    on dirait un pneu qui se dégonfle.
    Et quand il faut se bagarrer,
    il est encore dégonflé.

    Tel qu'il est, il me plaît,
    Il me fait de l'effet,
    Et je l'aime.
    C'est un vrai gringalet,
    aussi laid qu'un basset,
    mais je l'aime.
    Il est bancal,
    du coté cérébral
    mais ça m'est bien z égal,
    qu'il ait l'air anormal.

    C'est complet, il est muet
    ses quinquets sont en biais
    C'est un fait que tel qu'il est,
    il me plaît.

    Que reste-t-il de nos amours ?

    Charles Trenet

    Ce soir, le vent qui frappe à ma porte
    Me parle des amours mortes
    Devant le feu qui s'éteint
    Ce soir, c'est une chanson d'automne
    Dans la maison qui frissonne
    Et je pense aux jours lointains

    {Refrain:}
    Que reste-t-il de nos amours ?
    Que reste-t-il de ces beaux jours ?
    Une photo, vieille photo de ma jeunesse
    Que reste-t-il des billets doux,
    Des mois d'avril, des rendez-vous ?
    Un souvenir qui me poursuit sans cesse
    Bonheur fané, cheveux au vent
    Baisers volés, rêves mouvants
    Que reste-t-il de tout cela ?
    Dites-le-moi
    Un petit village, un vieux clocher
    Un paysage si bien caché
    Et dans un nuage, le cher visage de mon passé

    Les mots, les mots tendres qu'on murmure
    Les caresses les plus pures
    Les serments au fond des bois
    Les fleurs qu'on retrouve dans un livre
    Dont le parfum vous enivre
    Se sont envolés, pourquoi ?

    Le grand frisé

    Damia

    {Refrain:}
    Quand j' danse avec le grand frisé
    Il a une façon d' m'enlacer
    J'en perds la tête
    J' suis comme une bête
    Y a pas, je suis sa chose, à lui
    J' l'ai dans l' sang ; quoi, c'est mon chéri
    Aussi je l’aime, je l'aime, mon grand frisé

    Il m' cogne, il m' démolit, il m' crève
    Mais que voulez-vous, moi, j'aime ça
    Après, je m'endors dans un rêve
    En m’ pelotonnant bien dans ses bras
    J' me revois lorsque j'étais toute gosse
    Et que m' câlinait ma maman
    Qu’ j’ai tuée d'chagrin en f'sant la noce
    Aussi, tout ce qui me reste maint’nant
    Quoi... c'est mon homme

    {au Refrain}

    Aussi je l’aime, je l'aime, mon grand frisé


    ---------------------------------------
    {Version par Barbara:}

    Moi, quand je danse avec mon grand frisé

    {Refrain:}
    Ah, je sais pas, il a une façon de m'enlacer :
    J'en perds la tête,
    Je suis comme une bête.
    Y a pas, moi, je suis sa chose à lui.
    Je l'ai dans le sang, quoi c'est mon chéri
    Et moi je l'aime,
    Je l'aime, mon grand frisé.

    Il me cogne, il me démolit, il me crève,
    Mais que voulez-nous, moi j'aime ça.
    Après, je m'endors dans un rêve
    En me pelotant bien dans ses bras.
    Je me revois lorsque j'étais toute gosse
    Et que me câlinait ma maman.
    J'ai tué le chagrin en faisant la noce,
    Aussi, tout ce qui me reste à présent,
    C'est mon homme.

    {au Refrain}

    Y a pas, je suis sa chose à lui.
    Je l'ai dans le sang, quoi c'est mon chéri
    Et moi, je l'aime,
    Je l'aime mon grand frisé...
    Pour lui Lucienne Delyle

    Je suis la servente
    De mon homme à moi
    Quand je suis contente,
    C'est à lui que je le dois

    Si l'amour pouvait se dire
    Je le dirais pour lui
    Si j'avais le coeur à rire
    Je chanterais pour lui
    Je bâtirais des montagnes
    Pour lui, rien que pour lui
    Et ma vie à qui perd gagne,
    Je la jouerais pour lui

    Rien, plus rien à faire
    Pour nous séparer
    Même la misère
    Ne pourrait me l'enlever

    S'il fallait vendre mon âme,
    Je la vendrais pour lui
    S'il aimait une autre femme,
    Je m'en irais pour lui
    J'inve terais des prières
    Pour lui, rien que pour lui
    Et ma vie, ma vie entière
    Je donnerais pour lui.
     

    La vie en rose

    Édith Piaf

    Des yeux qui font baisser les miens
    Un rire qui se perd sur sa bouche
    Voilà le portrait sans retouche
    De l'homme auquel j'appartiens

    {Refrain:}
    Quand il me prend dans ses bras,
    Il me parle tout bas
    Je vois la vie en rose,
    Il me dit des mots d'amour
    Des mots de tous les jours,
    Et ça m'fait quelque chose
    Il est entré dans mon cœur,
    Une part de bonheur
    Dont je connais la cause,
    C'est lui pour moi,
    Moi pour lui dans la vie
    Il me l'a dit, l'a juré
    Pour la vie
    Et dès que je l'aperçois
    Alors je sens en moi
    Mon cœur qui bat

    Des nuits d'amour à plus finir
    Un grand bonheur qui prend sa place
    Des ennuis, des chagrins s'effacent
    Heureux, heureux à en mourir

    {au Refrain}



    {Nota: variante pour le dernier couplet:}

    Des nuits d'amour à en mourir
    Un grand bonheur qui prend sa place
    Les ennuis, les chagrins s'effacent
    Heureux, heureux pour mon plaisir

    Si tu t'imagines

    Juliette Gréco

    si tu t'imagines
    si tu t'imagines
    fillette fillette
    si tu t'imagines
    xa va xa va xa
    va durer toujours
    la saison des za
    saison des za
    saison des amours
    ce que tu te goures
    fillette fillette
    ce que tu te goures
    si tu crois petite
    tu crois ah ah
    que ton teint de rose
    ta taille de guêpe
    tes mignons biceps
    tes ongles d'émail
    ta cuisse de nymphe
    et ton pied léger
    si tu crois petite
    xa va xa va xa
    va durer toujours
    ce que tu te goures
    fillette fillette
    ce que tu te goures
    les beaux jours s'en vont
    les beaux jours de fête
    soleils et planètes
    tournent tous en rond
    mais toi ma petite
    tu marches tout droit
    vers sque tu vois pas
    très sournois s'approchent
    la ride véloce
    la pesante graisse
    le menton triplé
    le muscle avachi
    allons cueille cueille
    les roses les roses
    roses de la vie
    et que leurs pétales
    soient la mer étale
    de tous les bonheurs
    allons cueille cueille
    si tu le fais pas
    ce que tu te goures
    fillette fillette
    ce que tu te goures

     
      Ne Vous Mariez Pas, Les Filles

    Avez-vous vu un homme à poil
    Sortir soudain d'la salle de bains
    Dégoulinant par tous les poils
    Et la moustache pleine de chagrin ?
    Avez-vous vu un homme bien laid
    En train d'manger des spaghetti
    Fourchette au poing, l'air abruti
    D'la sauce tomate sur son gilet
    Quand ils sont beaux, ils sont idiots
    Quand ils sont vieux, ils sont affreux
    Quand ils sont grands, ils sont feignants
    Quand ils sont p'tits, ils sont méchants
    Avez-vous vu un homme trop gros
    Extraire ses jambes de son dodo
    S'masser l'ventre et s'gratter les tifs
    En r'gardant ses pieds l'air pensif ?

    {Refrain 1:}
    Ne vous mariez pas, les filles, ne vous mariez pas
    Faites plutôt du cinéma
    Restez pucell' chez vot'papa
    Dev'nez serveuse chez un bougnat
    El'vez des singes, él'vez des chats
    Levez la patte à l'Opéra
    Vendez des boit' de chocolat
    Prenez le voile ou l'prenez pas
    Dansez à poil pour les gagas
    Soyez radeuse av'nue du Bois
    Mais ne vous mariez pas, les filles
    Ne vous mariez pas.

    Avez-vous vu un homme gêné
    Rentrer trop tard pour le dîner
    Du rouge à lèvres sur son col
    Du flageolant dans la guibole
    Avez-vous vu au cabaret
    Un monsieur qui n'est plus très frais
    Se frotter avec insistance
    Sur un' petite fleur d'innocence
    Quand ils sont bêtes, ils vous embêtent
    Quand ils sont forts, ils font du sport
    Quand ils sont riches, Ils gar'nt l'artiche
    Quand sils sont durs, ils vous torturent
    Avez-vous vu à votre bras
    Un maigrichon aux yeux de rat
    Friser ses trois poils de moustache
    Et se redresser, l'air bravache.

    {Refrain 2:}
    Ne vous mariez pas, les filles, ne vous mariez pas
    Mettez vos robes de gala
    Allez danser à l'Olympia
    Changez d'amant quat' fois par mois
    Prenez la braise et gardez-la
    Cachez la fraîche sous vos matelas
    A cinquante ans, ça servira
    A vous payer des beaux p'tits gars
    Rien dans la tête, tout dans les bras
    Ah, la belle vie que ça sera
    Si vous n'vous mariez pas, les filles
    Si vous n'vous mariez pas.

    C'Est Un Mâle

    Y'a des tas d'gonzesses qui font les bégueules
    aussitôt qu'un homme veut les approcher.
    Il leur faut des compartiments dames seules,
    elles ont trop peur d'avaler la fumée.
    Mais moi qui n'suis pas aussi chicandière,
    j'ai mon vrai de vrai, un homme affranchi.
    Avec lui, pas b'soin de faire des manières,
    on s'a dans la peau et ça nous suffit.

    C'est pas une demi-portion,
    une galette, un avorton,
    lui c'est un mââle.
    J'aime son nez tout écrasé,
    sa mâchoire en or plombé,
    dans son teint pâ-le.
    Il peut me filer des coups,
    Il peut me piquer mes sous,
    sans que je râ-âle.
    Il a des gros biscoteaux,
    et c'est lui qu'j'ai dans la peau,
    c'est le mâle qu'il me faut.



    Il m'arrive parfois quelques aventures,
    j'ai connu des hommes dans tous les milieux.
    Je suis un peu curieuse de nature,
    mais c'est encore lui, lui que j'aime le mieux.

    Il n'est pas rasé, tout son poil m'arrache,
    et quand il m'embrasse, il sent le tabac.
    Oui mais i'm'fait des tas d'machines qu'attachent,
    et je suis pâmée quand j'suis dans ses bras.

    C'est pas une demi-portion,
    une galette, un avorton,
    lui c'est un mâle.
    J'aime son nez tout écrasé,
    sa mâchoire en or plombé,
    dans son teint pâle.
    Il peut me filer des coups,
    Il peut me piquer mes sous,
    sans que je râle.
    Il a des gros biscoteaux,
    et c'est lui l'roi des costauds,
    c'est le mâle qu'il me faut.

    Quand mon homme emballe une poule du grand monde,
    si l'a du pétard avec le bourgeois.
    Pour tirer son couteau de sa profonde,
    c'est lui qu'est l'premier, lui qui a la loi.

    Il a l'estomac avec un tatouage,
    sous c'tatouage un point d'interrogation,
    ca lui permettra, car il est volage,
    de faire lui aussi un peu d'aviation.

    C'est pas une demi-portion,
    une galette, un avorton,
    lui c'est un mâle.
    J'aime son nez tout écrasé,
    sa cicatrice étalée,
    dans son teint pâle.
    Il peut me filer des coups,
    Il peut me piquer mes sous,
    sans que je râle.
    Il a des gros biscoteaux,
    mais c'est lui l'roi des barbots,
    c'est le mâle qu'il me faut.

    C'est le mâle qu'il me faut.


     Le Rififi

     

    Mon homme est un type à la coule

    Toute la sainte journée y s' les roule

    Il a beaucoup d' philosophie

    Mais il aime trop le rififi

    À peine un aut' gars m' fait du gringue

    Qu'il pose la main sur son flingue

    Redresse son galure et vas-y

    Pour un p'tit coup de rififi

    J' voudrais m'en mêler mais du doigt

    Il me montre la porte et me dit "Tire-toi"

    Et quand il revient sans rien dire

    Avec son méchant p'tit sourire

    À mon tour ça n' fait pas un pli

    Je suis bonne pour le rififi

    {Refrain:} Vous avez l'air d'entraver qu' dalle

    À mon histoire, quand je vous parle du rififi

    Ce n'est pas un mot ordinaire

    Vous n' trouverez pas dans l' dictionnaire

    Le rififi

    Il est à nous et faut voir comme

    On le comprend chez les vrais hommes

    Le rififi

    Ne vous creusez donc plus l' cigare

    C'est tout simplement la bagarre

    Le rififi

    Quand j'ai bien travaillé la s'maine

    Dimanche au ciné y m'emmène

    C' qu'on joue, c'est l' cadet d' ses soucis

    Pourvu qu' y ait du rififi

    En amour ce n'est pas un tendre

    Les p'tits mots doux j' peux les attendre

    Il dit toujours que les souris

    Ça doit marcher au rififi

    Et quand y s' laisse aller pour de vrai

    Rien que pour le principe, y beigne après

    Mais quand il m'a bien corrigée

    Qu'auprès d' lui je suis allongée

    Pour retourner au paradis

    C'est moi qui d'mande du rififi {au Refrain}

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